La PCU ne doit pas vous empêcher d’aspirer à être en bonne santé ou à la conserver. Comme pour chacun d’entre nous, une alimentation saine et variée, un sommeil de bonne qualité et une activité physique régulière jouent un rôle capital. Toutefois, si vous avez la PCU, vous devez surveiller vos taux de Phénylalanine (Phé) pour qu’ils se situent dans la fourchette recommandée.
Quand vous êtes malade, vos besoins en calories vont naturellement grimper pendant que votre corps luttera contre la maladie. Il se peut aussi que vous ayez moins d’appétit. Cela peut amener votre corps à aller dégrader des protéines dans les réserves musculaires pour les utiliser comme source d’énergie. Cela va libérer de la Phé dans le sang, ce qui fait augmenter les niveaux de Phé.
En France, beaucoup adultes n’ont pas d’activité physique. Le rapport de la commission Européenne montre que 35 % de la population ne pratique jamais d’exercice physique et 46 % ne pratique jamais de sport. Il existe un lien entre un mode de vie sédentaire et l’obésité, les maladies cardiaques et le diabète de type 2.
Manger trop de protéines naturelles (au-delà de votre ration de parts de Phé) entraînera rapidement une augmentation de la Phé dans le sang.