Je suis content d’avoir inclus ce produit dans ma diète.
Nick et Ilonka, jeune couple atteint de PKU, étaient aussi curieux de goûter à cette première et unique préparation provisoire d’acides aminés à base de glycomacropeptides (GMP).
Lorsque Sabrine ne se déplace pas à travers les Pays-Bas, vous pouvez la croiser en train de courir à Woerden. Elle fait du sport 3 à 4 fois par semaine et aime se récompenser avec un bon repas (sain de préférence) en compagnie de ses amis ou de sa famille. En tant que chargée de relations avec les hôpitaux, elle est en contact avec des personnes qui suivent un régime alimentaire restrictif à cause d’une erreur innée du métabolisme. Elle s’est alors demandé ce que cela ferait de marcher dans leurs souliers pendant une semaine.
« Cette semaine, j’ai alterné plusieurs substituts de protéines aux diverses saveurs. Ce qui m’a vraiment frappé, c’est qu’une saveur ou une préparation était vraiment plus facile à prendre qu’une autre. Je pense donc qu’il peut certainement être utile d’essayer différentes préparations et de voir ensuite celle qui convient le mieux à votre style de vie. »
Parce que Sabrine fait beaucoup de sport, elle suit normalement un régime riche en protéines, qui a donc nécessité quelques ajustements. De plus, devoir préparer soi-même du pain et de la pâte feuilletée prenait beaucoup plus de temps. L’avantage, c’est que la maison sentait bon le pain fraîchement cuit. Sabrine a aussi rapidement découvert les avantages de préparer plusieurs portions à l’avance. « Avec les sauces, par exemple, il est plus facile de les remuer si vous avez un peu plus de volume. Et en faisant plusieurs portions, vous gagnez du temps pour plus tard. Vous pouvez ensuite passer ce temps à faire du sport ou à faire des choses amusantes avec des amis ou en famille. »
Sabrine va courir environ 3 fois par semaine et, l’été, elle alterne avec du roller. De plus, elle essaie également de faire 20 minutes de musculation 3 fois par semaine pour le renforcement musculaire. Les jours de repos, elle sort toujours marcher une demi-heure à trois quarts d’heure. Enfin, elle donne aussi un conseil pour les jours où on ne peut pas prendre le temps de faire du sport : « Si je reste dans ma ville, je prends toujours mon vélo quand je vais quelque part. Hormis le repas riche en protéines après l’effort, remplacé par un substitut de protéines (et complété par une collation hypoprotidique), elle n’a pas vraiment remarqué de différence avec son rythme d’exercice normal.
« J’avais déjà beaucoup de respect pour toutes les personnes qui suivent un régime hypoprotidique et pour leur entourage, qui contribue à le rendre possible. Ce respect n’a fait que grandir ! J’espère qu’avec cette expérience je pourrai encore mieux répondre aux questions, aux idées et aux envies des personnes atteintes d’une maladie métabolique, pour leur faciliter un peu la vie ! Oh oui, et je remplacerai régulièrement les pâtes ou le riz par des spaghettis de courgettes ou du riz de chou-fleur. Le goût est très bon et ça donne un peu plus de variété aux recettes. »
La semaine hypoprotidique s’est déroulée sous contrôle médical. Contactez votre médecin et/ou votre diététicien(ne) pour plus d’informations.
Nick et Ilonka, jeune couple atteint de PKU, étaient aussi curieux de goûter à cette première et unique préparation provisoire d’acides aminés à base de glycomacropeptides (GMP).
Evy Van den Hout- Vermeesen et Martijn Van den Hout sont les fiers parents de Fay (6 ans) et Lizzy (4 ans). La phénylcétonurie (PCU) a été diagnostiquée chez Lizzy en juillet 2016, peu après sa naissance.