Semaine PCU: Nicolas

Nicolas est le Chef (cuisinier !) de Vitaflo pour la France et le Benelux depuis trois ans. Il est donc quotidiennement en cuisine à élaborer des recettes hypoprotidiques pour les patients qui doivent suivre un régime hypoprotidique à cause d’un trouble métabolique. Si la cuisine et les recettes n’ont plus beaucoup de secrets pour lui,  il est en revanche peu souvent confronté aux substituts de protéines. Pour acquérir également de l’expérience avec cet aspect du régime hypoprotidique, il s’est joint à cette semaine spéciale.

« Parce que vous n’êtes pas autorisé à utiliser tous les produits, cela peut être parfois un peu difficile de cuisiner hypoprotidique. Pourtant, j’essaie toujours de faire de mon mieux pour donner aux plats autant de saveur et de variété que possible. Ce n’est pas parce que les plats sont hypoprotidiques qu’ils doivent être fades en goût. » Nicolas avait déjà goûté quelques substituts de protéines dans le passé, mais il a été agréablement surpris par la préparation à base de GMP. « Je pense qu’un goût plus neutre est un véritable bond en avant pour les patients. »

Malgré des années d’expérience dans la cuisine hypoprotidique, Nicolas aime toujours les choses simples. Par exemple, il aime travailler avec la pâte feuilletée et tous les plats pouvant s’en décliner. « Je prends beaucoup de plaisir à pétrir la pâte, pour moi c’est un pur moment de détente ». Du point de vue du goût, le curry de légumes était son plat préféré. Nicolas donne aussi un conseil : « Cuisinez avec toute la famille. C’est une activité amusante et de cette façon, vous impliquez tout le monde dans le régime hypoprotidique. »

Pour Nicolas, la cuisine n’est pas seulement son métier, c’est aussi son plus grand passe-temps. Il essaie aussi de faire du jogging régulièrement. « Je n’ai pas immédiatement ressenti de différence, mais je dois dire que les substituts ont fonctionné comme un coupe-faim pour moi. Les collations m’ont également permis d’avoir moins faim tout au long de la journée. » Il essaiera aussi d’en tirer des leçons pour ses futurs plats. « En expérimentant toute la semaine la combinaison de plats hypoprotidiques et de substituts de protéines, j’ai acquis une meilleure idée des portions nécessaires et j’en tiendrai davantage compte à l’avenir. »

La semaine hypoprotidique s’est déroulée sous contrôle médical. Contactez votre médecin et/ou votre diététicien(ne) pour plus d’informations.